jeudi 26 juillet 2012

Thierry Roland n'est pas mort

Thierry Roland dans la légende des JO
La France du foot - mais pas seulement - peut sortir de son apnée après avoir porté nationalement le deuil de Thierry Roland : elle sait maintenant que son esprit est avec nous ; il s'offre quelque holiday dans la patrie des Rosbeefs à la peau pâle le matin et rougie par la bière des pubs dès onze heures...

Les Britanniques entament en effet d'une manière tellement british leurs JO de Londres. Les Jeux ne sont pas encore ouverts qu'une première bourde a été commise hier soir, à l'occasion du tournoi de football féminin qui a débuté, calendrier oblige, quelques heures avant la cérémonie officielle : sur les grands panneaux HD du stade aux trois quarts vide, le drapeau sud-coréen est apparu pour accueillir la sélection du nord de la péninsule ! On imagine la crispation et l'indignation des Nord-Coréens, insultés par cette assimilation à un peuple avec qui ils sont encore aujourd'hui en guerre.

L'histoire des Jeux est riche de ces anecdotes qui en font, pour une part, la légende. Thierry Roland himself la poursuit, profitant certainement de la pause du technicien pour incruster son message. Le père du "Il n'y a rien qui ressemble plus à un Coréen qu'un autre Coréen" persiste et signe pour le bonheur des uns et le malheur des autres, et entre définitivement dans l'histoire.

1 commentaire:

  1. Je dois avouer que ça m'a fait bien rire quand j'ai lu l'info... Ca fait quand même sérieusement négligé !!!

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